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- DES VIES EXEMPLAIRES ET AUTRES HISTOIRES
- ÉCUME et autres histoires
- 8.8 - La peur dans le miroir
- Saint-Office de la mémoire
- Seul le prix du sang
- Le livre de la désobéissance
- L’auto
- Histoires argentines
- Les Orages
- La perfection des cimetières
- L'Art d'aimer à Marseille
- L'Amérique centrale raconte 2015 - Centroamérica cuenta 2015
- L'Amérique centrale raconte 2014 - Centroamérica cuenta 2014
- Passionné et condamné - La pasión y la condemna
- Là, où vont mourir les fleuves
- If Marsella...
- If Marseille...
- Dernier voyage à l'université/Último viaje a la universidad
- Conférence sur la pluie - Conferencia sobre la lluvia
- Pichis
- Le roman du corps
- Séisme(s)
- À l'orée des ténèbres
- Tinísma - Une vie de Tina Modotti
- Bosque
- L'Amérique Centrale raconte 2016 - Centroamérica cuenta 2016
- Sacrifices au temps de Pâques
- L'Amérique Centrale raconte 2017 - Centroamérica cuenta 2017
- Ne pas toucher la queue du dragon
- Le linceul du vieux monde
- L'Amérique Centrale raconte 2018 - Centroamérica cuenta 2018
- Irapuato mon amour
- Histoires d'Uruguay
- La longue nuit de Francisco Sanctis
- Des animaux très sensibles - Trucha panza arriba
- Pourquoi j'ai enlevé Charlotte Rampling
- Les anges jouent des maracas
- Le Père et autres histoires
- Le ministre doit être exécuté
- Los albañiles
- Iode
- Saint Remède
- Almagro dans ses brumes
- Harraga
- Boléro noir à Santa Clara
...Le fétichisme de la rationalité et le culte de la technologie ont fini par nous transformer en matériel humain. Que faire ? Déjà, regarder notre corps droit dans les yeux afin de nous le réapproprier, et c’est à cette entreprise salutaire que Courtoisie semble s’être attelé. Nous nous retrouvons conju-gués par ce diable d’écrivain, ce souriant Démystificator, au présent de l’abominatif, au passé décomposé et au futur improbable. Je remarque au passage que le dégoût pour le genre humain est une spécialité de l’homme, aucun animal ne se pince le nez devant l’un de ses semblables – il est vrai qu’aucune bête ne se parfume, et avec raison, car seul le parfum pue. Dans le Roman du corps, l’homme en prend pour son grade et perd à jamais sa majuscule…
(De la préface d'Henri-Frédéric Blanc)