par

- Almagro dans ses brumes
- Harraga
- Le linceul du vieux monde
- Iode
- Boléro noir à Santa Clara
- Los albañiles
- La loi de l'ouest
- Saint Remède
- Les anges jouent des maracas
- Le ministre doit être exécuté
- Seul le prix du sang
- La longue nuit de Francisco Sanctis
- Irapuato, mon amour
- Saint-Office de la mémoire
- Des animaux très sensibles - Édition e-pub bilingue - Edición electrónica bilingüe - Trucha panza arriba
- Un petit oiseau
- Le Père et autres histoires - Édition bilingue en version e-pub - Edición bilingüe en versión electrónica
- Histoires d'Uruguay
- L'Amérique Centrale raconte 2018 - Centroamérica cuenta 2018 - Édition bilingue - Edición bilingüe
- Ne pas toucher la queue du dragon
- L'Amérique Centrale raconte 2017 - Centroamérica cuenta 2017 - Édition bilingue - Edición bilingüe
- Sacrifices au temps de Pâques
- D'autres vies exemplaires
- L'Amérique Centrale raconte 2016 - Centroamérica cuenta 2016 - Edition bilingue Edición bilingüe
- Tinísma - Une vie de Tina Modotti
- Bosque
- Laura à la Havane
- Severina Édition e-pub bilingue - Edición electrónica bilingüe
- 8.8 de magnitude
- A l'orée des ténèbres
- Séisme(s)
- Le roman du corps
- Pichis
- Conférence sur la pluie - Conferencia sobre la lluvia Édition bilingue / Edición bilingüe (français /español)
- Dernier voyage à l'université
- If Marseille...
- If Marsella...
- L'Amérique centrale raconte 2014 - Centroamérica cuenta 2014 - Édition bilingue - Edición bilingüe
- L'Amérique centrale raconte 2015 - Centroamérica cuenta 2015
- L'Art d'aimer à Marseille
- Là, où vont mourir les fleuves
- La perfection des cimetières
- Fausse lumière
- Passionné et condamné - La pasión y la condemna - Edición bilingüe
« ...Le fétichisme de la rationalité et le culte de la technologie ont fini par nous transformer en matériel humain. Que faire ? Déjà, regarder notre corps droit dans les yeux afin de nous le réapproprier, et c’est à cette entreprise salutaire que Courtoisie semble s’être attelé. Nous nous retrouvons conju-gués par ce diable d’écrivain, ce souriant Démystificator, au présent de l’abominatif, au passé décomposé et au futur improbable. Je remarque au passage que le dégoût pour le genre humain est une spécialité de l’homme, aucun animal ne se pince le nez devant l’un de ses semblables – il est vrai qu’aucune bête ne se parfume, et avec raison, car seul le parfum pue. Dans le Roman du corps, l’homme en prend pour son grade et perd à jamais sa majuscule… »
(De la préface d'Henri-Frédéric Blanc)