par

- ÉCUME et autres histoires
- 8.8 - La peur dans le miroir
- Seul le prix du sang
- Le livre de la désobéissance
- L’auto
- Histoires argentines
- Les Orages
- La perfection des cimetières
- L'Art d'aimer à Marseille
- L'Amérique centrale raconte 2015 - Centroamérica cuenta 2015
- L'Amérique centrale raconte 2014 - Centroamérica cuenta 2014
- Passionné et condamné - La pasión y la condemna
- Là, où vont mourir les fleuves
- If Marsella...
- If Marseille...
- Dernier voyage à l'université/Último viaje a la universidad
- Conférence sur la pluie - Conferencia sobre la lluvia
- Pichis
- Le roman du corps
- Séisme(s)
- À l'orée des ténèbres
- Tinísma - Une vie de Tina Modotti
- Bosque
- L'Amérique Centrale raconte 2016 - Centroamérica cuenta 2016
- Sacrifices au temps de Pâques
- L'Amérique Centrale raconte 2017 - Centroamérica cuenta 2017
- Ne pas toucher la queue du dragon
- Le linceul du vieux monde
- L'Amérique Centrale raconte 2018 - Centroamérica cuenta 2018
- Irapuato mon amour
- Histoires d'Uruguay
- La longue nuit de Francisco Sanctis
- Des animaux très sensibles - Trucha panza arriba
- Pourquoi j'ai enlevé Charlotte Rampling
- Les anges jouent des maracas
- Le Père et autres histoires
- Le ministre doit être exécuté
- Los albañiles
- Iode
- Saint Remède
- Almagro dans ses brumes
- Harraga
- Boléro noir à Santa Clara
Je l’ai vu chez des amis communs qui l’ont connu ; il suffit d’une allusion à Urondo au cours de la conversation pour que s’ouvre une brèche et y pénètrent son souvenir de bonheur partagé et la douleur de l’absence.
L’expression poétique est la plus reconnue dans l’œuvre d’Urondo. Commencée en 1950 et déployée avec talent tout au long des vingt-cinq années qui suivront, elle a aussi abordé d’autres aspects comme le théâtre, le cinéma ou le journalisme avec un apport de grande valeur à une époque prodigue en prouesses créatives. (…)
Il y a dans la prose du présent livre, une pluralité des voix et des registres qui atteint des hauteurs et des plénitudes très significatives. Par exemple, dans « La pluie et les vipères » – sans doute mémorable – où plane l’ombre d’Horacio Quiroga et pointe l’effondrement interminable d’une humanité condamnée. Ou dans « Grand-mère », qui réussit à relier présent et passé comme une flèche qui s’enfonce au centre d’une autre. (…)
De la préface d’Alejandro García Schnetzer
Né à Santa Fe en 1930, Francisco Urondo est mort à Mendoza en juin 1975 au cours d’une arrestation menée par un commando de la police argentine.
PRESSE :