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- 8.8 - La peur dans le miroir
- Almagro dans ses brumes
- Harraga
- Le linceul du vieux monde
- Iode
- Boléro noir à Santa Clara
- Los albañiles
- La loi de l'ouest
- Saint Remède
- Les anges jouent des maracas
- Le ministre doit être exécuté
- Seul le prix du sang
- La longue nuit de Francisco Sanctis
- Irapuato, mon amour
- Saint-Office de la mémoire
- Des animaux très sensibles - Édition e-pub bilingue - Edición electrónica bilingüe - Trucha panza arriba
- Un petit oiseau
- Le Père et autres histoires - Édition bilingue en version e-pub - Edición bilingüe en versión electrónica
- Histoires d'Uruguay
- L'Amérique Centrale raconte 2018 - Centroamérica cuenta 2018 - Édition bilingue - Edición bilingüe
- Ne pas toucher la queue du dragon
- L'Amérique Centrale raconte 2017 - Centroamérica cuenta 2017 - Édition bilingue - Edición bilingüe
- Sacrifices au temps de Pâques
- D'autres vies exemplaires
- L'Amérique Centrale raconte 2016 - Centroamérica cuenta 2016 - Edition bilingue Edición bilingüe
- Tinísma - Une vie de Tina Modotti
- Bosque
- Laura à la Havane
- Severina Édition e-pub bilingue - Edición electrónica bilingüe
- Requena
- Passionné et condamné - La pasión y la condemna - Edición bilingüe
- À l'orée des ténèbres
- Séisme(s)
- Le roman du corps
- Pichis
- Conférence sur la pluie - Conferencia sobre la lluvia Édition bilingue / Edición bilingüe (français /español)
- Dernier voyage à l'université/Último viaje a la universidad
- If Marseille...
- If Marsella...
- L'Amérique centrale raconte 2014 - Centroamérica cuenta 2014 - Édition bilingue - Edición bilingüe
- L'Amérique centrale raconte 2015 - Centroamérica cuenta 2015
- L'Art d'aimer à Marseille
- Là, où vont mourir les fleuves
- La perfection des cimetières
- Fausse lumière
- Irapuato mon amour - Petite épopée d'une mémoire ouvrière au Mexique Parution le 30 avril
- Le livre de la désobéissance
- L’auto
- Les Orages
- Histoires argentines
- DES VIES EXEMPLAIRES ET AUTRES HISTOIRES
« Je l’ai vu chez des amis communs qui l’ont connu ; il suffit d’une allusion à Urondo au cours de la conversation pour que s’ouvre une brèche et y pénètrent son souvenir de bonheur partagé et la douleur de l’absence.
L’expression poétique est la plus reconnue dans l’œuvre d’Urondo. Commencée en 1950 et déployée avec talent tout au long des vingt-cinq années qui suivront, elle a aussi abordé d’autres aspects comme le théâtre, le cinéma ou le journalisme avec un apport de grande valeur à une époque prodigue en prouesses créatives. (…)
Il y a dans la prose du présent livre, une pluralité des voix et des registres qui atteint des hauteurs et des plénitudes très significatives. Par exemple, dans « La pluie et les vipères » – sans doute mémorable – où plane l’ombre d’Horacio Quiroga et pointe l’effondrement interminable d’une humanité condamnée. Ou dans « Grand-mère », qui réussit à relier présent et passé comme une flèche qui s’enfonce au centre d’une autre. (…)
Né à Santa Fe en 1930, Francisco Urondo est mort à Mendoza en juin 1975 au cours d’une arrestation menée par un commando de la police argentine.
De la préface d’Alejandro García Schnetzer