
- DES VIES EXEMPLAIRES ET AUTRES HISTOIRES
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- 8.8 - La peur dans le miroir
- Saint-Office de la mémoire
- Seul le prix du sang
- Le livre de la désobéissance
- L’auto
- Histoires argentines
- Les Orages
- La perfection des cimetières
- L'Art d'aimer à Marseille
- L'Amérique centrale raconte 2015 - Centroamérica cuenta 2015
- L'Amérique centrale raconte 2014 - Centroamérica cuenta 2014
- Passionné et condamné - La pasión y la condemna
- Là, où vont mourir les fleuves
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- Conférence sur la pluie - Conferencia sobre la lluvia
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- Le roman du corps
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- À l'orée des ténèbres
- Tinísma - Une vie de Tina Modotti
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- L'Amérique Centrale raconte 2016 - Centroamérica cuenta 2016
- Sacrifices au temps de Pâques
- L'Amérique Centrale raconte 2017 - Centroamérica cuenta 2017
- Ne pas toucher la queue du dragon
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- Irapuato mon amour
- Histoires d'Uruguay
- La longue nuit de Francisco Sanctis
- Des animaux très sensibles - Trucha panza arriba
- Pourquoi j'ai enlevé Charlotte Rampling
- Les anges jouent des maracas
- Le Père et autres histoires
- Le ministre doit être exécuté
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- Almagro dans ses brumes
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- Boléro noir à Santa Clara
Loin du discours plaintif qui pose l’Amérique latine et les Latino-américains, notamment les écrivains latino-américains, en victimes éternelles, et loin du discours revendicatif d’une quelconque identité fermée sur elle-même, Gustavo Espinosa nous imagine en tant que pourceaux toujours désireux (donc à tout jamais dans un bonheur déchiré) d’une fiction venue d’ailleurs. Pas d’injustice à réparer, pas de revendication à faire, pas d’identité à défendre. Dans ce sens, il est magnifique de voir jouer Gustavo Espinosa avec un bon nombre de lieux communs qui produisent la couleur locale d’une certaine littérature écrite en Amérique latine.
De la préface de Alma BOLÓN
Loin du discours plaintif qui pose l’Amérique latine et les Latino-américains, notamment les écrivains latino-américains, en victimes éternelles, et loin du discours revendicatif d’une quelconque identité fermée sur elle-même, Gustavo Espinosa nous imagine en tant que pourceaux toujours désireux (donc à tout jamais dans un bonheur déchiré) d’une fiction venue d’ailleurs. Pas d’injustice à réparer, pas de revendication à faire, pas d’identité à défendre. Dans ce sens, il est magnifique de voir jouer Gustavo Espinosa avec un bon nombre de lieux communs qui produisent la couleur locale d’une certaine littérature écrite en Amérique latine.
De la préface de Alma Bolón