Violence d'État et racisme au Guatemala
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- 8.8 - La peur dans le miroir
- Seul le prix du sang
- Le livre de la désobéissance
- L’auto
- Histoires argentines
- Les Orages
- La perfection des cimetières
- L'Art d'aimer à Marseille
- L'Amérique centrale raconte 2015 - Centroamérica cuenta 2015
- L'Amérique centrale raconte 2014 - Centroamérica cuenta 2014
- Passionné et condamné - La pasión y la condemna
- Là, où vont mourir les fleuves
- If Marsella...
- If Marseille...
- Dernier voyage à l'université/Último viaje a la universidad
- Conférence sur la pluie - Conferencia sobre la lluvia
- Pichis
- Le roman du corps
- Séisme(s)
- À l'orée des ténèbres
- Tinísma - Une vie de Tina Modotti
- Bosque
- L'Amérique Centrale raconte 2016 - Centroamérica cuenta 2016
- Sacrifices au temps de Pâques
- L'Amérique Centrale raconte 2017 - Centroamérica cuenta 2017
- Ne pas toucher la queue du dragon
- Le linceul du vieux monde
- L'Amérique Centrale raconte 2018 - Centroamérica cuenta 2018
- Irapuato mon amour
- Histoires d'Uruguay
- La longue nuit de Francisco Sanctis
- Des animaux très sensibles - Trucha panza arriba
- Pourquoi j'ai enlevé Charlotte Rampling
- Les anges jouent des maracas
- Le Père et autres histoires
- Le ministre doit être exécuté
- Los albañiles
- Iode
- Saint Remède
- Almagro dans ses brumes
- Harraga
- Boléro noir à Santa Clara
« (…) Au Guatemala, Rodrigo Rey Rosa se déplace beaucoup, apparemment insoucieux des dangers que peut entraîner aujourd’hui une telle mobilité. En 1989, il a traversé à pied, pendant plusieurs jours, la forêt tropicale qui couvre le Nord-Est du pays. Une année, il m’envoya des écrits d’un village dont les seuls habitants étaient des Indiens. Il était constamment à l’affût d’endroits où vivre et travailler dans les régions les plus éloignées. (…) »
Paul BOWLES
(…) Et alors, on ne peut que penser à toute l’horreur qui s’est déversé sur le Guatemala, l’abjection et le sang. Et on pense aussi à Miguel Ángel Asturias, à Augusto Monterroso et maintenant à Rodrigo Rey Rosa, trois immenses écrivains venus d’un pays petit et infortuné. Et dans le miroir, l’image reste terrible et toujours vive. (…) »
Roberto BOLAÑO
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