par

- ÉCUME et autres histoires
- 8.8 - La peur dans le miroir
- Seul le prix du sang
- Le livre de la désobéissance
- L’auto
- Histoires argentines
- Les Orages
- La perfection des cimetières
- L'Art d'aimer à Marseille
- L'Amérique centrale raconte 2015 - Centroamérica cuenta 2015
- L'Amérique centrale raconte 2014 - Centroamérica cuenta 2014
- Passionné et condamné - La pasión y la condemna
- Là, où vont mourir les fleuves
- If Marsella...
- If Marseille...
- Dernier voyage à l'université/Último viaje a la universidad
- Conférence sur la pluie - Conferencia sobre la lluvia
- Pichis
- Le roman du corps
- Séisme(s)
- À l'orée des ténèbres
- Tinísma - Une vie de Tina Modotti
- Bosque
- L'Amérique Centrale raconte 2016 - Centroamérica cuenta 2016
- Sacrifices au temps de Pâques
- L'Amérique Centrale raconte 2017 - Centroamérica cuenta 2017
- Ne pas toucher la queue du dragon
- Le linceul du vieux monde
- L'Amérique Centrale raconte 2018 - Centroamérica cuenta 2018
- Irapuato mon amour
- Histoires d'Uruguay
- La longue nuit de Francisco Sanctis
- Des animaux très sensibles - Trucha panza arriba
- Pourquoi j'ai enlevé Charlotte Rampling
- Les anges jouent des maracas
- Le Père et autres histoires
- Le ministre doit être exécuté
- Los albañiles
- Iode
- Saint Remède
- Almagro dans ses brumes
- Harraga
- Boléro noir à Santa Clara
«… Je suppose que le thème de l’homme qui découvre brutalement son vrai destin et l’affronte (agissant comme il se doit aux yeux de Jéhovah) doit être une de mes obsessions. Toujours est-il que je le vois revenir avec une fréquence des plus pesantes dans les livres que j’ai écrits… »
Humberto Costantini
« … Je suis d’accord avec vous : Costantini est un grand écrivain, et lorsque vous arriverez aux dix dernières pages, vous le découvrirez dans toute sa splendeur… Son histoire est magnifique et l’angle d’attaque de son récit extraordinaire ; utiliser un pauvre type pour nous faire découvrir le drame de l’Argentine dans toute son horreur, c’est une idée géniale… »
Lisardo Pibida
« Le roman raconte les déambulations du personnage à travers la ville – et à travers sa conscience –, pressé par son sens de l’éthique, dans un environnement dominé – il le comprend brutalement – par la terreur et la mort.(….) Costantini nous offre une œuvre soigneusement mûrie, d’une écriture impeccable, où la tension dramatique ne cesse jamais de croître… »
Horacio Salas
(Ouvrage traduit avec l'aide du Centre National du Livre.)
Lire cette chronique du livre parue sur le webzine Quatre sans quatre.